Lune 18 - Vodkamp au complet ... moins deux

Tels 3 lucky Luke ils allaient face au soleil couchant.
Fermant la marche de leurs concitoyens arrivés pour la plupart à bon port, les Riri Fifi et Loulou de Vodkamp arrivaient enfin au terme de leur migration.
Ils pressaient à présent le pas, sentant la fébrilité et l'impatience des habitants de Buducnost à mettre un visage sur ceux dont ils n'entendirent au mieux que des voix.
Bientôt les silhouettes se précisèrent et l'on distinguait de façon certaine une Bimbo camouflée, un toxico courant après des bestioles invisibles, et quelque chose d'autre, non moins insolite que ses deux compagnons en ces territoires sauvages. Il n'était pas très grand et ses larges frusques masquait chaque once de son corps. L'espace d'un instant Bilbon cru voir une peau blanche mais il repoussa cette idée, sans doute s'agissait t-il d'un sous vétement, d'une teintue de peau, ou encore d'une illusion.
Les indigènes se rapprochèrent à leur tour.
Lorsque soudain l'homme mystère s'affala, son chapeau à large bord mettant à nu son teint d'albatre. L'homme avait la peau blanche et tendre sous laquelle se dessinait de fines veines.
Il n'était cependant pas albinos, car ses yeux d'un bleu profond semblait capter les moindres rayons de lumière pour les distribuer alentours.
IL se releva d'un air géné.
"Salut c'est nous que v'la!"

Se retournant:
"Voici ma compagne, euh disons notre Théière favorite, Yoko Limana. Et celui qui gesticule là c'est Till, il a abusé des champis. Et moi Je suis le garant de la mémoire d'Enkidou, qui nous à quitté pour un monde meilleur je l'espère, alors qu'il accompagnait nos deuxamis. J'aurais aimé être là à son dernier soupir, mais parlons de chose plus gaies... ohh j'oubliais, Bilbon je présume , je suis comme tu l'aurais deviné celui que l'on prénomme la vadrouille, sans doute parce que je ne tient pas en place et que mes esprits vagabondent."

Des 3 silhouettes, celle d'une femme se détachait du groupe, une silhouette qui n'avait pas l'air de se cacher sous des restes de manteau et de draps enroulés, il faisait tellement chaud dans cet enfer tropical...

Yoko n'était pas très grande, ni très petite a vrai dire, son teint de peau virait du rose a un léger halo orangé et jaune surement un effet d'optique du au poche de soleil percant la forêt, de long cheveux bruns et chatains lui couvraient les épaules et descendaient sur le haut de son décoleté, qui bizarrement attirait plus le regard des hommes survivants que le marron de ses yeux et son minois d'asiatique.
Même si elle s'en défendait elle avait un double chromosome X dans ses gène, ni plus ni moins, ce qui en faisait une représentante plutôt valorisante du genre féminin.

Du fait de la canicule et du transit jusqu'a Buducnost, tous voyagaient en habits légers, t-shirt et reste de baggy, des sacs a dos de fortune pour chacuns et des gourdes qui pendent

La forêt qui les entourait s'ouvrit enfin pour les mener au campement

Diplomate Nombre de messages : 801 Date d'inscription : 04/01/2007

Un véritable choc. affraid

Pourquoi fallait il que les survivantes soient plus belles les unes que les autres ? Comme tout un chacun à Buducnost, Wolf gardait un souvenir ému de Dude, la belle Slave qui avait séjourné avec eux quelques heures avant de rejoindre Outer Heaven.
Il s'était même demandé si il n'était pas tombé amoureux.

La réponse était là. Elle s'appelait Yoko. Quelle injustice pour ses deux compagnons, l'ensemble des habitants de Buducnost, sauf peut être l'un ou l'autre ayant d'autres préférences, avaient les yeux rivés sur la jeune fille et regardaient à peine les deux hommes l'accompagnant.

"Fermes la bouche, tu vas gober une mouche." suggera quelqu'un à Wolf.

Il serra des mains, félicita chaudement pour leur arrivée, se présenta, dans un demi coma.
Introverti, il n'avait d'yeux que pour la belle asiatique. Dude était oubliée instantanément. Quelques heures plus tard, seul dans son abri il se demanda si c'était vraiment sérieux d'être à ce point une girouette, et si il réagirait ainsi à chaque nouvelle arrivante. Peut être était ce seulement les hormones, ... Mais le résultat était là, il était plus amoureux que jamais et ne jurait plus que par l'asie.

Le lendemain Yoko le rejoindrait dans le groupe des sourciers, l'accueil de Wolf se résumerait à "Bah, euhh bienvenue ... glups." En voilà une qui n'aurait certainement pas à travailler très dur dans son équipe, un sourire et Wolf fera tout à sa place si il le peut.

Le slave était sortit de l’infirmerie attiré par le tumulte des membres du clan discutant entre eux de l’arrivé des anciens de Vodkamp et plus particulièrement de la jeune femme…

La vision était sympathique, trois nouveaux membres, deux hommes et une jeune femme. Tant qu’il était volontaires conviviaux et travailleurs il s’en foutait bien du sexe.

Il aurait sans doute fallut qu’il aille à leur rencontre mais un mal de tête terrible, dû au déplacement de la position horizontale à verticale, le stoppa net, la compresse présente sur son arcade recommençait à rougir.

Il se détourna donc de ses ambitions sociales et retourna s’alité dans son canoë-tronc véritable berceau pour convalescent.

En rentrant de sa séance de bucheronage, john eut la surprise de voir ses camarades de VodKamp ! Et bien .... ils avaient vraimment trainer en chemin. Cheval fou et lui etais arrivé deux lune auparavent. Le groupe semblait vraimment fatigué. Yoko, d'habitude si ennergique, ne disait pas un mot, et till semblait dans le meme état que john a son arrivé. A savoir : completement défoncé. Seul la vadrouille semblait un peu plus en forme. Mais on sentais aussi que le champi parlait a sa place par moment. Yoko ? sa "Théière" ? tss bullshit.
John jette se qui lui sert de hache dans un coin et crie un bon coups

-Héééé nasty ! Nice to see you again.

A sa grande suprise, john le pense effectivement. Car après tout, il n'avait passé qu'un nombre de lune restreint a Vodkamp, et il connait peu ces gens. Mais ce sont les plus "Humains" qu'il ai rencontré.

Puis il s'approche et serre vigoureusement les mains des arrivants, et donne quelque bourade amicale au deux hommes.

-Et bé ! vous z'avez mis le temps ! Encore des complications ? On a filé droit devant avec cheval fou hein. Sans rancune ?
C'est un bon guide. Il trace un chemin a travers n'importe quoi. Je n'ai eu qu'a le suivre en gazouillant des conneries sous l'effet des champis....

pffouia, grosse défonce pour vous aussi apparament. il rit et jette un oeil a till Hein till ? Et donc Yoko ... tu fait maintenant office de ... Théière ? HumHum.

Diplomate Nombre de messages : 324 Date d'inscription : 21/12/2006

Yarrick s'avança vers les 3 nouveau arrivants.

_ "Bonjour et bienvenu dans notre belle communauté !"

Il accompagna la parole d'un geste circulaire du bras.

_ "Je suis Yarrick, que certains d'entre vous ont du déjà un peu entendre sur vos ondes lorsque vous étiez à Vodkamp. J'espère que nos mines ne vous effraient pas trop, et je suis personnellement très content de pouvoir enfin voir les votres !"

L'homme marqua une petite pause lorsqu'il dévisagea Yoko.

_ "Une fois que vous aurez fait connaissance avec tout le monde, vous pourrez me suivre, je vais vous montrer vos confortables petites chambres, le temps que nous construisions de nouveaux abris !"

Yoko avait eut loisir de voir un peu tout les habitants de Buducnost les accueillir, et c'était bien un accueil chaleureux comme on en voyait pas si souvent dans ce qui reste du monde!

- John! ah mais c'est vrai vous êtes déjà bien installés depuis votre arrivée, on a du fermer la marche.. et .. abandonner 2 de nos compagnons, Enkidou et Bonaga, ils ne.. enfin ils n'étaient plus que l'ombre d'eux même, on a du se ressoudre a repartir sans eux, j'ai jamais aimé le regard vitreux qu'ils avaient...

bref silence

- Quand a cette histoire de Théière.. Lavadrouille!! c'est quoi cette histoire? tu peux m'expliquer de quoi tu parles?
Elle rudoyait déjà d'un gentil mais vif coup de coude son compagnon de voyage.
Attendant une réponse elle se rendit compte que tous les regards mâles (c'est a dire tous enfait..) était braquée sur elle.

Il y avait de l'agitation à Buducnost et cela était plutôt rare ces derniers temps. Aussi se leva-t-il de sa couche pour voir ce qu'il pouvait bien se passer. Se plaçant à l'encadrement de ce qui lui servait d'entrée, il observa le groupe de 3 personnes accueillit par une partie des Dioscures.

Il esquissa un sourire lorsqu'il s’aperçut de l'état dans lequel était plongé Wolf. Il devait se trouver parmi les plus intelligents du groupe, mais en cet instant, Pollux était persuadé que le QI de Wolf devait frôler celui de son pénis...
Aussi, lui envoya-t-il un :

Fermes la bouche, tu vas gober une mouche !

Même s'il était heureux de voir enfin une femme, une belle femme qui plus est, il espérait qu'elle n'allait pas mettre la zizanie dans le cœur des Dioscures.
Il s'approcha calmement des nouveaux venus et, les saluant, se présenta :

Soyez, tous autant que vous êtes, les bienvenus chez les Dioscures.
Même si Buducnost n'est qu'une pale imitation d'ombre de civilisation, nous nous efforçons d'en faire un véritable havre.
J'espère que votre venu y contribuera également.

En disant cette dernière phrase, il fixa, du mieux qu'il le pût, les yeux de chacun des nouveaux venus. Mais cela ne fût pas aisé lorsqu’il arriva au regard fuyant du dénommé Till. Décidément tous les drogués aux champignons se retrouvaient chez les Dioscures...

Puis il ajouta avec le ton froid qui lui était habituel :

Je suis celui qui sert de médecin Man dans cette communauté.Si vous avez besoin de quoi que ce soit, médicale ou autre, je suis, le plus souvent, dans la cabane là bas.

Il pointa du doigt la petite bâtisse en bois qui lui servait de demeure.
Il s’écarta légèrement afin de ne plus être le centre d’intérêt et laisser la discussion suivre son cour.

Au moment ou pollux commence a se retirer, john prend rapidement congé du reste du groupe et le suit. Puis il viens lui parler de manière a ce que seul lui l'entende. Le ton que prend john est plus sérieux qu'a l'acoutumé. Et son accent a presque disparu.

Oui... je pense que nous allons tous avoir besoin de quelque chose : c'est de cohésion de groupe. Et je pense aussi que tu pourrais nous en fournir sous forme chimique. Qu'importe la forme exacte. Certes, le travail et l'adversité sont de très bon liant pour un groupe. Mais je reste persuadé qu'une bonne cuite permet de briser la glace plus efficassement.

Voyant un début de froncement de sourcil réprobateur, john passe a la vitesse supérieure

Non non non, tu n'y est pas. Je suis très sérieux. Nous nous appretons a passer beaucoups de temps ensemble. Du moins je l'espere. Un désinhibant quelqu'onque nous permetrais d'acceler un processus naturel de conaissance mutuelle. Comment faire confiance a quelqu'un qui ne se dévoile jamais ?

Bilbon une compresse au niveau de la tempe retenue par un bandage, était malheureusement encore en partie sous les effets du choc qu'il avait recu, il parvenait à agir normalement mais ses temps de réaction étaient anormalement élevée même si la situation tendait maintenant à s'améliorée.
Ce n'est que lorsque john s'éloigna avec pollux, qu'il put enfin réagir au stimulus initial, la question de La Vadrouille. Il débuta une tirade, sa voix semblant plus grave que d'habitude avec sa lenteur.

Bonjour à tous et soyez les bienvenus parmis les dioscures, effectivement la Vadrouille je suis bien celui que l'on nomme Bilbon. A partir de cet instant vous devenez officiellement membres du clan, à part entière, au même titre que toutes les personnes réunis devant vous pour vous accueillir.
La vadrouille j'ai appris que tu savait traquer le gibier, est ce que cela te tente de m'accompagner pour relever les colets? Je suis malheureusement un peu trop ralenti pour le faire seul et ce sera une bonne occasion pour te présenter ton futur terrain de chasse...

Le discours de bilbon avait bien durer quatres minutes...

Le froncement de sourcil se transforma en regard vers le ciel :

Je ne suis pas un barman, même si je ne suis pas contre un bon verre d'alcool, je ne suis pas un expert dans l'art de la fermentation.
Je sais réaliser quelques décoctions, mais je pense qu’il est préférable de garder toute sa tête pour s'assurer de la cohésion d'un groupe.
Si tout le monde commence à dire ce qu'il a sur le cœur, ou à agir comme bon lui semble, cela risque fort de provoquer des confrontations.
Chaque un d'entre nous est suffisamment sage, pour savoir quand se taire et quand parler.

Mais je peux te garantir que si je parviens à trouver la recette pour se murger la tête, nous serons les deux premiers à y gouter.

Nous nous étions présentés, ils s'étaient présenté, excepté un homme aperçu du coin de l'oeil, et à vrai dire, j'avais une autre vision de la civilisation ... je la trouvait dégoulinante de bave, mais masqua ma surprise.
Je lachais, plus à moi même qu'à l'attention d'un quelconque interlocuteur, un énigmatique:
_ Hé bien on dirait que ce n'est pas ici que je mourrais de soif ...

Bilbon avait l'air quelque peu amoché et yarrick du coup semblait la personne la plus rassurante du bourg.Le sourire au lèvre et d'humeur taquine il ajouta:
_Bilbon je crois que tu devrais aller rejoindre contre l'autre amoché du fond et faire une petite sieste avec lui, à moins que tu ne préfère que je te borde dans le lit que yarrick semble avoir préparé à mon intention, je dormirais ailleurs pour la nuit.
Et je conseillerais d'ailleurs en passant au medecine man dont j'ignore le nom de réduire les doses sur ses patients ^^.
Pendant ce temps, s'il le faut un de tes compagnons ira relever les pièges pendant que j'irais faire le tour du proprio avec qui voudra m'accompagner.
A vrai dire il est tard pour aller relever les pièges et je n'aspire qu'a me prélasser ce soir près d'un feu en bonne compagnie. Je pourrais ensuite après m'être un peu reposé vous initier à la chasse nocturne mais j'ai peur que vous ne puissiez pas me suivre sans lunettes nocturnes, et je n'en ai que trois que j'ai sauvé de mon ancien havre de paix souterrain.

Qui est le préposé au cuisines j'aimerais vous faire gouter ma spécialité?

Bilbon mit bien une minute à réagir, avant de sourire...une nouvelle
forte tête parmis les dioscures ne pouvait que faire du bien au
clan...il leva les yeux au ciels et constata qu'effectivement il
faisait déja nuit...il avait perdu la notion du temps, et la remarque
de La Vadrouille n'était pas si dénuée de sens finalement.

Effectivement, il fait déja nuit je n'avais pas fait attention...pour
le préposé aux cuisines je pense que tu l'as en face de toi...je te
fais confiance montre nous ce que tu sait faire.